Dans la lumière de Hans Seiler
Musée des Beaux-Arts de Bordeaux, salle des essais, 19 Novembre 2009 – 28 Février 2010
Le musée des beaux-arts s’est donné pour objectif de mettre en lumière l’héritage de Roger Bissière et d’André Lhote, artistes bien représentés dans nos collections et tous deux originaires de notre région, en valorisant le travail d’artistes qui ont pu se réclamer de leur parentèle sinon de leur influence. Hans Seiler fait partie de ceux-là. Grand paysagiste entre autres, sa peinture, toujours figurative, semble au premier regard abstraite. Son traitement singulier de la lumière structure ses tableaux de touches claires qui animent la surface et mobilisent le regard.
Né en 1907, à Neufchâtel, en Suisse, il passe son enfance à Berne. En 1924, il entre à l’École des beaux-arts de Lyon où il suit des cours de sculpture. En 1927, il entre à l’Académie Ranson, à Paris, où il suit l’enseignement de Roger Bissière jusqu’en 1930.
Dès les années 30, il voyage beaucoup et il partage son temps tout d’abord entre la Bretagne et le Périgord puis dans les années 50 il voyage et peint en Hollande et en Normandie. A la fin des années 70, il travaillera aussi en Espagne.
Ses oeuvres sont régulièrement exposées dans de nombreuses galeries et musées en France et à l’étranger. Le musée du Grand Duché du Luxembourg possède sept oeuvres de l’artiste.
Lors de l’été 1986, à Bayonne, Hans Seiler meurt pendant la rétrospective qui lui était consacrée au musée Bonnat.
Un livre publié aux éditions Somogy est paru, avec des textes de Lydia Harambourg, critique d’art. Cet ouvrage de 120 pages est illustré en couleurs. 35 €.
A la suite de cette exposition qui réunira plus d’une vingtaine de toiles et de dessins, des oeuvres majeures de Hans Seiler intègreront la collection du musée.
Né en 1907, à Neufchâtel, en Suisse, il passe son enfance à Berne. En 1924, il entre à l’École des beaux-arts de Lyon où il suit des cours de sculpture. En 1927, il entre à l’Académie Ranson, à Paris, où il suit l’enseignement de Roger Bissière jusqu’en 1930.
Dès les années 30, il voyage beaucoup et il partage son temps tout d’abord entre la Bretagne et le Périgord puis dans les années 50 il voyage et peint en Hollande et en Normandie. A la fin des années 70, il travaillera aussi en Espagne.
Ses oeuvres sont régulièrement exposées dans de nombreuses galeries et musées en France et à l’étranger. Le musée du Grand Duché du Luxembourg possède sept oeuvres de l’artiste.
Lors de l’été 1986, à Bayonne, Hans Seiler meurt pendant la rétrospective qui lui était consacrée au musée Bonnat.
Un livre publié aux éditions Somogy est paru, avec des textes de Lydia Harambourg, critique d’art. Cet ouvrage de 120 pages est illustré en couleurs. 35 €.
A la suite de cette exposition qui réunira plus d’une vingtaine de toiles et de dessins, des oeuvres majeures de Hans Seiler intègreront la collection du musée.